"En réserve" : la médiathèque dispose d'une "réserve" constituée d'oeuvres classiques, de documentaires fondamentaux ou en multiples exemplaires. Ces documents sont consultables et empruntables sur demande. Adressez-vous à un bibliothècaire.
"Equipement" : les documents portant cette mention sont souvent des nouveautés. Ils vont être couverts et renforcés pour le prêt et seront disponibles très prochainement. Vous pouvez réserver les documents qui sont à "l'équipement".
A Mézières-lez-Cléry, à quelle époque remonte la coutume que suivent encore les jeunes femmes, qui escaladent la Butte des Élus pour avoir un enfant ? D'où provient le nom de la grotte du dragon de la Chapelle-Saint-Mesmin ? Savez-vous que le roi Louis VII épousa en deuxièmes noces Constance de Castille à la Commanderie de Boigny-sur-Bionne, après son mariage et son divorce calamiteux avec Aliénor d'Aquitaine ? De toutes les légendes qui courent sur Jeanne d'Arc, laquelle est la plus vraisemblable ? ... C'est à ces questions que [...] répond Jean-Louis Riguet dans ces « Récits historiques de l'Orléanais »...
Savez-vous qu'à l'époque gauloise le port d'Orléans était déjà un carrefour commercial très actif ? Pourquoi le vinaigre et la moutarde d'Orléans sont-ils toujours si réputés ? Se souvient-on qu'au XVIIIe siècle la ville comptait des dizaines de raffineries de sucre et de manufactures textiles, où l'on fabriquait notamment la blonde de soie, cette magnifique dentelle ? Pourquoi Orléans était-elle appelée « la capitale de la rose » au XIXe siècle ? C'est à toutes ces questions, et à beaucoup d'autres, que Jean-Louis Riguet [...] s'est attelé dans ce nouvel ouvrage...
Savez-vous qu'à l'époque gauloise le port d'Orléans était déjà un carrefour commercial très actif ? Pourquoi le vinaigre et la moutarde d'Orléans sont-ils toujours si réputés ? Se souvient-on qu'au XVIIIe siècle la ville comptait des dizaines de raffineries de sucre et de manufactures textiles, où l'on fabriquait notamment la blonde de soie, cette magnifique dentelle ? Pourquoi Orléans était-elle appelée « la capitale de la rose » au XIXe siècle ? C'est à toutes ces questions, et à beaucoup d'autres, que Jean-Louis Riguet [...] s'est attelé dans ce nouvel ouvrage. Après avoir évoqué les grands personnages de notre Histoire dans ses « Récits historiques de l'Orléanais », il met ici l'accent sur l'importance de l'activité économique d'Orléans à travers les âges. À travers l'évolution de la marine fluviale, du travail du sel, du sucre, du coton, des jardins et des crues, c'est cette fois l'histoire des petites gens, de ceux qui travaillent dans l'ombre, qui est mise en lumière... Nous nous intéresserons aussi aux grands industriels comme aux petits métiers oubliés, et nous voyagerons même des mines de charbon de la Haute Loire à Saint-Domingue dont le sucre a fait un temps la richesse d'Orléans... Ancien notaire, Jean-Louis Riguet est sociétaire de la Société des Gens de Lettres et membre de la Maison de l'écrivain et de la littérature. Son œuvre a été primée à plusieurs reprises ; il a été notamment lauréat du prix Scriborom en 2013, et du prix Marie-Chantal Guilmin en 2015.