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Toni adore sa totote rouge. Mais son papa trouve qu'il est trop grand maintenant. Il prend la totote rouge et la coupe en deux ! Qu'il est bête, Papa, se dit Toni en allant chercher sa totote verte dans le placard, sous les chaussettes. Papa soupire et fait disparaître la totote verte dans les toilettes. Pourquoi Papa doit toujours tout décider ?
Chaque jour, la famille Vasylenko brave la nature sauvage à la recherche d'aventure. Et chaque jour, Oktobre préfère se plonger dans les livres. A la différence de ses onze frères et soeurs, il a une peur terrible de La Nature Sauvage. Ses parents lui expliquent qu'elle n'est pas un monstre : c'est une expression, un endroit, une émotion. Pour Oktobre, ça sera une rencontre.
"Voilà, ton mari est mort lui aussi, Anna. Ton mari, notre mari. J'aurais aimé qu'il repose à côté de toi." Ellinor a soixante-dix ans. Elle vient de perdre Georg, son mari, et elle a rapidement décidé de vendre leur maison, dans la banlieue chic de Copenhague, afin de retourner vivre à Vesterbro, le quartier populaire de son enfance. Et Ellinor va se raconter. Elle s'adresse à Anna, sa meilleure amie, qui était la première femme de Georg. Et la maîtresse de Henning, son mari à elle. Anna et Henning ont été emportés par une [...] avalanche dans les Dolomites, pendant des vacances que les deux couples passaient ensemble, au cours des années soixante...
C'est au seuil de la vieillesse que le narrateur décide de nous raconter son histoire, trois moments de vie qui sont autant d'étapes décisives dans la construction de sa personnalité et de sa sensibilité. Il dépeint tout d'abord ses jeunes années et le tournant qu'a représenté le cancer de sa mère... Puis vient l'âge de raison, le mariage, la naissance de sa fille Julie, et le divorce... A la veille de ses soixante ans enfin, c'est à Rome que nous le retrouvons. Grand-père depuis peu, le narrateur fait une nouvelle rencontre [...] inopinée avec une photographe...
C'est au seuil de la vieillesse que le narrateur décide de nous raconter son histoire, trois moments de vie qui sont autant d'étapes décisives dans la construction de sa personnalité et de sa sensibilité. Il dépeint tout d'abord ses jeunes années et le tournant qu'a représenté le cancer de sa mère. A l'époque, le narrateur avait décidé d'approfondir sa connaissance de l'allemand afin de pouvoir lire Karl Marx et finalement découvrir une littérature germanique qui bouleverse son adolescence, de Thomas Mann à Rainer Maria Rilke. [...] C'est aussi l'époque des premières amours et de la rencontre avec la fille de son professeur d'allemand, qui lui permet de découvrir Berlin d'avant la chute du mur. Puis vient l'âge de raison, le mariage, la naissance de sa fille Julie, et le divorce. Le narrateur a une quarantaine d'années, il est à présent enseignant et accueille un garçon d'origine serbe dans sa classe. Stanko le fascine, sa discrétion comme cette maturité arrogante qui rejaillit parfois. Mais c'est la rencontre avec la mère du jeune homme qui le trouble encore davantage, notamment lorsqu'elle lui montre une vidéo d'elle et son mari, depuis disparu, lors d'une croisière sur le Danube au moment de passer les Portes de Fer, entre la Serbie et la Roumanie. Passion à nouveau éphémère qui le renvoie en fin de compte à sa condition d'homme solitaire et de père en alternance. A la veille de ses soixante ans enfin, c'est à Rome que nous le retrouvons. Grand-père depuis peu, le narrateur fait une nouvelle rencontre inopinée avec une photographe. Elle l'invite chez elle pour lui montrer son travail avant d'accepter de partir avec lui à Paestum, photographier ces ruines encore vivantes... Jens Christian Grøndahl brosse le portrait de cet homme et de son histoire avec une grande justesse, il s'immisce dans ses remords, ses obsessions, ses envies profondes. Les Portes de Fer parle d'amour
David Fischer ne se doute pas que le message laissé sur son répondeur par sa femme, alors qu'il est en voyage d'affaires à Londres, sera le premier signe annonciateur de trois jours qui mettront à mal bon nombre de ses certitudes. Car tout va bien dans la vie de cet avocat danois, et le dîner avec Nadeel, le petit-ami pakistanais de sa fille Zoé, qu'Emma lui rappelle ainsi ne lui pose aucun problème. Une fois rentré à Copenhague, il trouve une croix gammée taguée sur sa boîte aux lettres. Il décide de la remplacer et de n'en [...] parler à personne. Sa femme Emma est anglaise... Elle l'a suivi dans cette banlieue cossue de Copenhague pour se consacrer à l'éducation de leur fille Zoé mais aussi à la peinture... Le soir du dîner, elle prend l'initiative de parler des origines juives de David à Nadeel, le malaise s'accroît tout d'un coup. Puis arrive le premier vernissage de Zoé, étudiante aux beaux-arts, où l'installation vidéo provocante qu'elle a conçue avec Nadeel risque bien de mettre le feu aux poudres... Dans une narration serrée à l'intrigue ramassée, Jens Christian Grøndahl évoque avec une grande justesse ces moments où nos identités se fissurent et où tous nos repères semblent se recomposer.
C'est un vieux, vieux lutin et il a vu la neige de centaines d'hivers. Il va et vient à pas feutrés dans le clair de lune et veille sur la ferme. Le lutin visite chaque maison et parle à chaque animal dans une petite langue silencieuse qu'eux seuls peuvent comprendre. Les hommes ne le voient jamais, mais parfois, le matin au réveil, les enfants découvrent...
Fifi Brindacier est une petite fille extraordinaire.
A neuf ans à peine, elle a déjà fait le tour du monde ! Avec son petit nez couvert de tâches de rousseur et ses tresses roux carotte dressées sur la tête, on ne croirait jamais que c'est la petite fille la plus forte du monde. Fifi donne de bonnes leçons aux garçons et raconte des histoires incroyables... Avec elle, on n'est jamais sûr de rien !
Ce jour-là, je suis rentré tout seul avec mon petit frère à la maison. Nous avons attendu papa et maman. Personne n'est venu. Alors, j'ai décidé de construire une cabane. Une jolie cabane toute blanche, avec un mât pour le drapeau.
Chaque jour, Carré descend dans sa grotte, prend une pierre et la pousse jusqu’au sommet de la montagne. C’est son travail. Un jour, Cercle est passée par là. « Je ne savais pas que tu étais un sculpteur ! lui dit-elle. Il faut que tu fasses une statue de moi ! » Carré avait envie de faire quelque chose de parfait, mais plus il taillait sa pierre, plus il avait l’impression que c’était le contraire de parfait...