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Savez-vous qu'à l'époque gauloise le port d'Orléans était déjà un carrefour commercial très actif ? Pourquoi le vinaigre et la moutarde d'Orléans sont-ils toujours si réputés ? Se souvient-on qu'au XVIIIe siècle la ville comptait des dizaines de raffineries de sucre et de manufactures textiles, où l'on fabriquait notamment la blonde de soie, cette magnifique dentelle ? Pourquoi Orléans était-elle appelée « la capitale de la rose » au XIXe siècle ? C'est à toutes ces questions, et à beaucoup d'autres, que Jean-Louis Riguet [...] s'est attelé dans ce nouvel ouvrage...
Savez-vous qu'à l'époque gauloise le port d'Orléans était déjà un carrefour commercial très actif ? Pourquoi le vinaigre et la moutarde d'Orléans sont-ils toujours si réputés ? Se souvient-on qu'au XVIIIe siècle la ville comptait des dizaines de raffineries de sucre et de manufactures textiles, où l'on fabriquait notamment la blonde de soie, cette magnifique dentelle ? Pourquoi Orléans était-elle appelée « la capitale de la rose » au XIXe siècle ? C'est à toutes ces questions, et à beaucoup d'autres, que Jean-Louis Riguet [...] s'est attelé dans ce nouvel ouvrage. Après avoir évoqué les grands personnages de notre Histoire dans ses « Récits historiques de l'Orléanais », il met ici l'accent sur l'importance de l'activité économique d'Orléans à travers les âges. À travers l'évolution de la marine fluviale, du travail du sel, du sucre, du coton, des jardins et des crues, c'est cette fois l'histoire des petites gens, de ceux qui travaillent dans l'ombre, qui est mise en lumière... Nous nous intéresserons aussi aux grands industriels comme aux petits métiers oubliés, et nous voyagerons même des mines de charbon de la Haute Loire à Saint-Domingue dont le sucre a fait un temps la richesse d'Orléans... Ancien notaire, Jean-Louis Riguet est sociétaire de la Société des Gens de Lettres et membre de la Maison de l'écrivain et de la littérature. Son œuvre a été primée à plusieurs reprises ; il a été notamment lauréat du prix Scriborom en 2013, et du prix Marie-Chantal Guilmin en 2015.
Jean-Louis Riguet est le fils de Louis Riguet, maître tailleur, et de Emma Robert, couturière. Il épouse Jocelyne Vauchey en 1977 avec qui il a deux enfants, Anne-Sophie et Jean-François.
Il fait ses études au collège de Mirebeau, obtient son BEPC et commence à travailler en 1963, à l’âge de 15 ans et demi, dans un office de notaire de la ville. Il poursuit sa carrière dans le notariat, à Châteaudun en 1966 puis à Paris en 1972. Après avoir suivi des cours par correspondance, il réussit le diplôme d’aptitude aux fonctions de notaire en 1975. Entre 1983 et 1989, il est conseil juridique à Paris dans un cabinet qu’il a créé. Puis il est nommé notaire à Orléans où il exerce ses fonctions jusqu’en 2015[Note 1].
Jean-Louis Riguet écrit depuis plusieurs années mais il n'est publié que depuis 2012. Désormais retraité, il réside à Saint-Hilaire-Saint-Mesmin et a envie de « noter plein de choses noir sur blanc ». Il est sociétaire de la Société des Gens de Lettres et membre de la Maison de l’écrivain et de la littérature. Son ouvrage L’association des bouts de lignes, roman d’investigation fantaisiste, reçoit le prix Scriborom en 2013[1]. Son roman historique Aristide, la butte meurtrie (Vauquois 1914-1918) obtient le prix Marie-Chantal Guilmin au Salon du livre de Mazamet en 2015[2],[3].
Ma fille était belle, ma fille était intelligente, ma fille était drôle... Mais elle a rencontré Monseigneur. Il a des bottines qui brillent et des oreilles pointues comme Belzébuth. Il lui a fait rencontrer Jésus. Depuis, ma fille n'est plus la même. Elle veut être sainte. Rose comme un bonbon, bleue comme le ciel