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"Comme toi, j'aime la douceur, les câlins et les caresses. Savoir que quelqu'un me protège. Comme toi j'aime jouer avec mes copains, et parfois faire des bêtises ! Comme toi j'ai mon caractère. Je suis unique parmi tous mes semblables. Et même si nous sommes tous différents, j'ai comme toi un coeur qui bat."
Médias
Wikipedia
Jean-Baptiste Del Amo, est un écrivain français, né le à Toulouse.
En 2006, il reçoit le Prix du jeune écrivain de langue française pour sa nouvelle Ne rien faire. Ce texte court, qui se déroule en Afrique le jour de la mort d'un nourrisson, est une fiction autour du silence, du non-dit et de l’apparente inaction.
Le 25 juin 2009, c'est au tour de l'Académie française de lui décerner le prix François Mauriac. Il est également récompensé par le prix Fénéon des Universités de Paris. Une éducation libertine est publié en poche (Folio) au mois de mars 2010.
Il publie en 2010 un deuxième roman, Le Sel[2], texte contemporain situé dans le port de Sète, qui relate une journée de la vie d'une famille, au terme de laquelle un dîner doit en réunir tous les membres. Au gré de ses souvenirs, chacun se remémore l'histoire familiale et la figure d'un père disparu. Le livre est fortement soutenu par les libraires et paraît en format poche (Folio) en 2012.
Il préface également le livre d'art "Hervé Guibert, photographe"[3], publié en France aux éditions Gallimard et en Allemagne aux éditions Schirmer/Mosel.
Les thèmes récurrents de l’œuvre de Jean-Baptiste Del Amo incluent la quête identitaire, le corps[4], la mort et la sexualité.
En 2010-2011, Jean-Baptiste Del Amo est pensionnaire de la Villa Médicis.
En 2012, il reçoit la bourse écrivain de la fondation Lagardère.
En 2013, il publie Pornographia, récit d'une errance hallucinée dans la nuit d'une ville tropicale. Ce roman obtient le Prix Sade 2013[5]. Une version en espagnol, accompagnée de photographies d'Antoine d'Agata, est éditée chez Cabaret Voltaire en 2014[6].
En 2016 paraît son quatrième roman, Règne animal, qui retrace, du début à la fin du vingtième siècle l’histoire d’une exploitation familiale vouée à devenir un élevage industriel.
Ses romans ont été traduits en Allemagne (BTB), en Roumanie (Vellant), en Italie (Neo Edizioni) et en Espagne (Cabaret Voltaire).
Végétalien, Jean-Baptiste Del Amo s'engage en mars 2016 aux côtés de l'association L214 en commentant une vidéo dénonçant les abattoirs et montrant des images de maltraitance animale filmées en caméra cachée à l’abattoir de Mauléon-Licharre dans les Pyrénées-Atlantiques[7].