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Cote | Localisation | Statut |
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BD SOK | Plus de détails sur cet exemplaire Code-barres: 0790764577 |
Auteur | Benoît Sokal |
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Titre | 17 : L'Ombre de la bête / Benoît Sokal. |
Editeur | Paris : Casterman, 2006. |
Collection | Ligne rouge |
Description | 48 p. : ill. en coul., couv. ill; en coul. ; 31 cm |
Langue | Français. |
Centre d'intérêts | Bande dessinée adulte |
Support | Livre |
Mégot vissé au bec, bouteille à portée de main, regard fatigué d'en avoir trop vu, imper couleur muraille : voici l'inspecteur Canardo, détective privé laconique et volontiers cynique. Apparu dans le magazine (A suivre) dès le numéro deux, en 1 978, le canard peu bavard a tranquillement imposé sa patte dans le paysage de la bande dessinée. Après une pause de quelques années, il reprend du service avec ce nouvel épisode où il retrouve son vieil ennemi, le terrible chat Raspoutine. Gare : ce canard est un fin renard... Désabusé, [...] un tantinet misogyne, mais observateur averti de la vie comme elle va. Une série originale. --Gilbert Jacques
Mégot vissé au bec, bouteille à portée de main, regard fatigué d'en avoir trop vu, imper couleur muraille : voici l'inspecteur Canardo, détective privé laconique et volontiers cynique. Cette fois, une panne de voiture le contraint à faire halte dans un garage-restaurant planté au beau milieu de nulle part, tenu par un couple douteux et peuplé de personnages incertains : un photographe amoureux de l'horizon, une actrice plutôt has-been, une bande de motards vicelards. Il va y avoir de l'action, c'est sûr. Mais ne comptez pas trop [...] sur Canardo pour, en plus, faire la conversation... Apparu dans le magazine (A suivre) dès le numéro deux, en 1 978, le canard peu bavard a tranquillement imposé sa patte dans le paysage de la bande dessinée. Après une pause de quelques années, il reprend du service avec ce nouvel épisode où il retrouve son vieil ennemi, le terrible chat Raspoutine. Gare : ce canard est un fin renard... Désabusé, un tantinet misogyne, mais observateur averti de la vie comme elle va. Une série originale. --Gilbert Jacques
Imper fatigué, regard las, ténacité à toute épreuve... Columbo ? Non, Canardo. Inspecteur, lui aussi. Mais d'un genre un peu particulier : Canardo est un détective palmipède à dégaine de cocker, avec des poches sous les yeux et une allure de chien battu. En tout cas, dès qu'il s'agit de fourrer sa truffe – enfin, son flair – dans une affaire louche, Canardo ne craint personne. Ici, l'histoire s'annonce pure routine : une jeunette embauchée comme nurse chez un couple richissime est fortement soupçonnée de les avoir tués. Du [...] sang partout, pas de témoins, une accusée qui déclare ne se souvenir de rien et que l'on a retrouvée sur place avec un sabre à la main : bref, du gâteau pour Canardo. Le seul qui aurait pu parler, c'est le fils de la maison. Malheureusement, le pauvre est réduit à végéter dans un hôpital, atteint du syndrome de la méduse doublé du syndrome du poulet. Pour parler clairement, le malheureux n'a plus toute sa tête et passe son temps à regarder des programmes ineptes à la télé. Une affaire facile ? En apparence. Et ça tombe bien : Canardo est plutôt du genre à chercher la vérité derrière les apparences. À chambouler le cours tranquille d'un procès pour faire éclore la justice. Et là, Canardo n'a rien à envier à Columbo… Douzième enquête du détective à bec de canard, aussi malin que désabusé, toujours prêt à agrémenter ses déductions de considérations sans illusion sur l'amour et la nature humaine… Et le bougre sait ne pas se montrer commode quand les besoins de son enquête l'exigent : à un témoin vaguement réticent à rassembler ses souvenirs, Canardo se promet de faire découvrir "la France policière profonde, son savoir-faire et ses traditions" tout en l'empoignant par la cravate… Allez, encore une petite rasade de Canardo ! --Philippe Actère
Pauvre inspecteur Canardo… Lui qui était déjà du genre désabusé, cette nouvelle enquête ne va pas lui donner une meilleure opinion de ses semblables. Les Reverchon-Molard lui confient une mission guère ragoûtante : interroger le père de madame afin qu'il crache le secret de la planque de son magot. Il y a urgence : le pauvre vieux arrive en fin de parcours et risque surtout de cracher ses poumons. D'ailleurs, il pousse son dernier soupir juste au moment où Canardo pousse la porte de sa chambre. "Y'a papy qu'est game over", [...] résume alors le palmipède. Bref, l'enquête commence mal. Mais notre détective, jamais à court de ressources, se souvient qu'on lui a prêté une machine à voyager dans le passé. Et voilà Canardo sur les traces du papy, dans la France occupée des années quarante. Il va vite constater que son passé légendaire de résistant résiste mal, justement, à la réalité des faits… Onzième volume des aventures tellement humaines du canard à cigare et à la mine de cocker fiévreux. --Philippe Actère
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