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Croisant le fer, croisant le verbe, messieurs de Villalobos et Maupertuis suivent la piste du mystérieux Maître d'Armes. Leur quête semée de dangers, d'énigmes et de forfaitures les mènera des bas-fonds du port d'Agatharchidès jusqu'aux confins des mers lunaires, au coeur de la Face Cachée, là où rôdent les chimères.
Croisant le fer, croisant le verbe, messieurs de Villalobos et Maupertuis suivent la piste du mystérieux Maître d'Armes. Leur quête semée de dangers, d'énigmes et de forfaitures les mènera des bas-fonds du port d'Agatharchidès jusqu'aux confins des mers lunaires, au coeur de la Face Cachée, là où rôdent les chimères.
Le prince Jean vaincu, la Lune sauvée, l’heure est venue pour messieurs de Villalobos et Maupertuis de songer au retour. Mais l’ignoble Mendoza n’a pas dit son dernier mot, et quand amour, honneur et amitié s’opposent, la comédie peut tourner au tragique. Avant de tirer leur révérence, nos gentilshommes devront encore essuyer de terribles coups de théâtre. Arriveront-ils tous à bon port ?
Le prince Jean vaincu, la Lune sauvée, l’heure est venue pour messieurs de Villalobos et Maupertuis de songer au retour. Mais l’ignoble Mendoza n’a pas dit son dernier mot, et quand amour, honneur et amitié s’opposent, la comédie peut tourner au tragique. Avant de tirer leur révérence, nos gentilshommes devront encore essuyer de terribles coups de théâtre. Arriveront-ils tous à bon port ?
D ans une auberge isolée en pleine forêt de Terra Amata, cinq aubergistes se lamentent : les clients se font rares. Et donc, il commence à faire faim. D'autant que cette auberge est pis qu'espagnole : on n'y mange pas ce qu'on y apporte, mais ceux qui y viennent. Mais voici qu’un singulier voyageur se présente, occupé à bavarder avec son épée.Un fou ? Non : Guillaume de la Cour, nouveau porteur de la légendaire épée du Destin.
Jean-Jean la terreur, huitième album de la saga Donjon, inaugure l’extension Donjon Monsters.
Franchement, quoi de plus triste qu'une auberge vide de clients ? Surtout quand cette auberge est tenue par une joyeuse brochette de monstres dont la seule raison de vivre est de dévorer toute crue leur clientèle. Comme le dit si bien Jean-Jean, le troll à huit pattes, "une auberge où on mange les clients sans clients à manger est une auberge où on ne mange pas à sa faim". Justement, ce jour-là se présente Guillaume de la Cour. Le genre : escroc sympathique (pléonasme), spécialisé dans la vente de "contrats d'assurance [...] complètement tordus" et de livres d'horoscopes illustrés. Évidemment, dès qu'il pousse la porte, les monstres se retiennent pour ne pas le pousser dans la marmite. Mais voilà : Guillaume, en super-commercial qu'il est, réussit à leur fourguer un marché irrésistible. Principe : il les conduit jusqu'au mythique donjon, paradis des monstres en tous genres. En échange, eux ne le dévorent pas et lui servent même d'escorte. Banco ! Et les voilà en route pour l'aventure… Infatigables, Joann Sfar et Lewis Trondheim attaquent un nouveau versant de leur inépuisable saga de Donjon : avec Donjon monsters, ils entreprennent de raconter à chaque album le destin forcément hors norme (comme toute leur série, d'ailleurs) de l'un des personnages de leur univers. Et, histoire de se reposer un peu et de faire travailler les copains, ils confient à chaque fois les crayons à un dessinateur différent. Là, c'est Mazan (auteur du délicieux Dans l'cochon tout est bon) qui inaugure la formule. Décidément, le lecteur n'a pas fini de découvrir de nouvelles pièces à ce fameux Donjon… --Philippe Actère
D ans une auberge isolée en pleine forêt de Terra Amata, cinq aubergistes se lamentent : les clients se font rares. Et donc, il commence à faire faim. D'autant que cette auberge est pis qu'espagnole : on n'y mange pas ce qu'on y apporte, mais ceux qui y viennent. Mais voici qu’un singulier voyageur se présente, occupé à bavarder avec son épée.Un fou ? Non : Guillaume de la Cour, nouveau porteur de la légendaire épée du Destin.
Jean-Jean la terreur, huitième album de la saga Donjon, inaugure l’extension Donjon Monsters.
Franchement, quoi de plus triste qu'une auberge vide de clients ? Surtout quand cette auberge est tenue par une joyeuse brochette de monstres dont la seule raison de vivre est de dévorer toute crue leur clientèle. Comme le dit si bien Jean-Jean, le troll à huit pattes, "une auberge où on mange les clients sans clients à manger est une auberge où on ne mange pas à sa faim". Justement, ce jour-là se présente Guillaume de la Cour. Le genre : escroc sympathique (pléonasme), spécialisé dans la vente de "contrats d'assurance [...] complètement tordus" et de livres d'horoscopes illustrés. Évidemment, dès qu'il pousse la porte, les monstres se retiennent pour ne pas le pousser dans la marmite. Mais voilà : Guillaume, en super-commercial qu'il est, réussit à leur fourguer un marché irrésistible. Principe : il les conduit jusqu'au mythique donjon, paradis des monstres en tous genres. En échange, eux ne le dévorent pas et lui servent même d'escorte. Banco ! Et les voilà en route pour l'aventure… Infatigables, Joann Sfar et Lewis Trondheim attaquent un nouveau versant de leur inépuisable saga de Donjon : avec Donjon monsters, ils entreprennent de raconter à chaque album le destin forcément hors norme (comme toute leur série, d'ailleurs) de l'un des personnages de leur univers. Et, histoire de se reposer un peu et de faire travailler les copains, ils confient à chaque fois les crayons à un dessinateur différent. Là, c'est Mazan (auteur du délicieux Dans l'cochon tout est bon) qui inaugure la formule. Décidément, le lecteur n'a pas fini de découvrir de nouvelles pièces à ce fameux Donjon… --Philippe Actère