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1er août 1914. Louis, Jacques, Maurice, Armand, Denis, Arsène, Pierre et Jules sont mobilisés. Huit amis, âgés d'une trentaine d'années, issus de la même petite ville et affectés dans le même régiment d'infanterie. Ensemble, ils découvrent les premiers combats, les premiers doutes et les premiers ordres absurdes, point de départ de quatre longues années dont certains reviendront, d'autres non...
1er août 1914. Louis, Jacques, Maurice, Armand, Denis, Arsène, Pierre et Jules sont mobilisés. Huit amis, âgés d'une trentaine d'années, issus de la même petite ville et affectés dans le même régiment d'infanterie. Ensemble, ils découvrent les premiers combats, les premiers doutes et les premiers ordres absurdes, point de départ de quatre longues années dont certains reviendront, d'autres non...
Premières avancées au fusil et à la baïonnette pour les hommes sur le front, premières désillusions pour les femmes à l'arrière. Les tentacules de la guerre s'étendent et révèlent un secret déjà douloureux à supporter, la fin n'est pas pour tout de suite. Il va falloir s'accommoder de ce quotidien infernal où l'horreur le dispute à l'absurdité. Un récit intime et tragique où seul le rire du désespoir perce parfois.
Premières avancées au fusil et à la baïonnette pour les hommes sur le front, premières désillusions pour les femmes à l'arrière. Les tentacules de la guerre s'étendent et révèlent un secret déjà douloureux à supporter, la fin n'est pas pour tout de suite. Il va falloir s'accommoder de ce quotidien infernal où l'horreur le dispute à l'absurdité. Un récit intime et tragique où seul le rire du désespoir perce parfois.
Janvier 1915. Tandis que les hommes creusent les tranchées, le commandement élabore un plan dans lequel une section doit servir d'appât aux Allemands, une mission-suicide qui incombe au caporal Armand de Bernanceaux et à ses hommes. Avant le départ, deux événements portant sur l'honneur de Maurice et celui de Denis vont mettre en péril la cohésion du groupe d'amis...
Janvier 1915. Tandis que les hommes creusent les tranchées, le commandement élabore un plan dans lequel une section doit servir d'appât aux Allemands, une mission-suicide qui incombe au caporal Armand de Bernanceaux et à ses hommes. Avant le départ, deux événements portant sur l'honneur de Maurice et celui de Denis vont mettre en péril la cohésion du groupe d'amis...
De retour d'une escapade, à la recherche du « repos du guerrier », Arsène et Jacques dépassent leurs lignes et tombent par hasard sur la tranchée ennemie faisant face à la leur. À leur grand étonnement, elle est déserte. Prévenu, le commandement ordonne une incursion par voie de tunnel. Pierre et Jules, désignés pour cette mission, découvrent au cours de leur progression un étrange objet cylindrique.
De retour d'une escapade, à la recherche du « repos du guerrier », Arsène et Jacques dépassent leurs lignes et tombent par hasard sur la tranchée ennemie faisant face à la leur. À leur grand étonnement, elle est déserte. Prévenu, le commandement ordonne une incursion par voie de tunnel. Pierre et Jules, désignés pour cette mission, découvrent au cours de leur progression un étrange objet cylindrique.
Verdun, 21 février 1916. L'artillerie allemande débute le pilonnage systématique du secteur dans le but de « saigner à blanc l'armée française ». Parmi les renforts qui affluent, la présence de tirailleurs sénégalais crée des tensions dans la troupe. C'est dans ce contexte que la compagnie commandée par Armand est envoyée au fort de Douaumont sur le point d'être pris par l'ennemi...
Verdun, 21 février 1916. L'artillerie allemande débute le pilonnage systématique du secteur dans le but de « saigner à blanc l'armée française ». Parmi les renforts qui affluent, la présence de tirailleurs sénégalais crée des tensions dans la troupe. C'est dans ce contexte que la compagnie commandée par Armand est envoyée au fort de Douaumont sur le point d'être pris par l'ennemi...
Juillet 1916. La bataille de la Somme est engagée par les Alliés pour sortir du piège de Verdun. Mais les échanges d'artillerie infligent de nouveau d'énormes pertes malgré le soutien de nouvelles armes d'assaut. Dans cet enfer quotidien, la vie de nos héros ne tient qu'à un fil et le désespoir n'est jamais très loin. Pourtant, l'amitié leur permet de trouver la force de poursuivre le combat.
Juillet 1916. La bataille de la Somme est engagée par les Alliés pour sortir du piège de Verdun. Mais les échanges d'artillerie infligent de nouveau d'énormes pertes malgré le soutien de nouvelles armes d'assaut. Dans cet enfer quotidien, la vie de nos héros ne tient qu'à un fil et le désespoir n'est jamais très loin. Pourtant, l'amitié leur permet de trouver la force de poursuivre le combat.
Avril 1917. Sur de sa stratégie, très couteuse en vies humaines, le général Nivelle engage toutes ses forces dans la bataille du Chemin des Dames. Mais la première offensive se solde par une véritable hécatombe. Galvanisé par la rumeur de la révolte russe, Jacques appelle à l'insubordination. Arrêté, il doit comparaître devant une cour martiale dont il sait qu'il ne peut attendre la moindre mansuétude...
Avril 1917. Sur de sa stratégie, très couteuse en vies humaines, le général Nivelle engage toutes ses forces dans la bataille du Chemin des Dames. Mais la première offensive se solde par une véritable hécatombe. Galvanisé par la rumeur de la révolte russe, Jacques appelle à l'insubordination. Arrêté, il doit comparaître devant une cour martiale dont il sait qu'il ne peut attendre la moindre mansuétude...
Le conflit s’enlise. Il faut reprendre la Caverne au Dragon, une carrière occupée par l’ennemi. Pour cela la compagnie de sapeurs est équipée d’un lance-flammes révolutionnaire qui leur permettra de combattre le feu par le feu.
Coincés dans les tranchées au Chemin des Dames, les soldats s’occupent comme ils peuvent et doivent, depuis la mort d’Armand, supporter le nouveau sergent qui fait preuve d’autoritarisme pour masquer sa lâcheté. Heureusement, Paul, qui a servi sous ses ordres depuis le début du conflit, est là [...] pour dérider ses compagnons, même s’il attend son moment pour venger un camarade tombé à cause de ce couard galonné.
Le conflit s’enlise. Il faut reprendre la Caverne au Dragon, une carrière occupée par l’ennemi. Pour cela la compagnie de sapeurs est équipée d’un lance-flammes révolutionnaire qui leur permettra de combattre le feu par le feu.
Coincés dans les tranchées au Chemin des Dames, les soldats s’occupent comme ils peuvent et doivent, depuis la mort d’Armand, supporter le nouveau sergent qui fait preuve d’autoritarisme pour masquer sa lâcheté. Heureusement, Paul, qui a servi sous ses ordres depuis le début du conflit, est là [...] pour dérider ses compagnons, même s’il attend son moment pour venger un camarade tombé à cause de ce couard galonné.
Le conflit ne perd pas en intensité mais l'arrivée massive du contingent américain donne un nouvel espoir. La musique et le mode de vie des Sammies réchauffent l'atmosphère de l'arrière-front et le renfort de leurs pilotes renforce le contrôle du ciel avant la bataille décisive. Mason, l'un d'entre eux, ne trouve son courage que dans la cocaïne. Mais ses réserves sont désormais épuisées...
Le conflit ne perd pas en intensité mais l'arrivée massive du contingent américain donne un nouvel espoir. La musique et le mode de vie des Sammies réchauffent l'atmosphère de l'arrière-front et le renfort de leurs pilotes renforce le contrôle du ciel avant la bataille décisive. Mason, l'un d'entre eux, ne trouve son courage que dans la cocaïne. Mais ses réserves sont désormais épuisées...
L'armistice permet enfin à Maurice, Pierre et Jules de rentrer au foyer. Ils sont les derniers de nos héros à quitter le théâtre de la guerre. Arsène et Louis sont déjà revenus, blessés, le premier une jambe en moins, le second la " gueule cassée ". Denis et Armand sont morts au combat et Jacques a été fusillé pour l'exemple. Mais la guerre, même conclue, n'a pas fini de faire des victimes...
L'armistice permet enfin à Maurice, Pierre et Jules de rentrer au foyer. Ils sont les derniers de nos héros à quitter le théâtre de la guerre. Arsène et Louis sont déjà revenus, blessés, le premier une jambe en moins, le second la " gueule cassée ". Denis et Armand sont morts au combat et Jacques a été fusillé pour l'exemple. Mais la guerre, même conclue, n'a pas fini de faire des victimes...