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Cote | Localisation | Statut |
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158.1 LOR | Famille - Santé Plus de détails sur cet exemplaire Code-barres: 1223174577 Identifiant: Pôle Famille-Santé Identifiant: Vert |
Auteur | Dominique Loreau [auteur] |
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Titre | Vivre heureux dans un petit espace / Dominique Loreau. |
Editeur | Paris : Flammarion, 2016. |
Description | 219 p. ; 19 cm |
Langue | Français. |
Indice | 158.1 |
Centre d'intérêts | Documentaire adulte |
Ne sommes-nous pas trop matérialistes ? Avons-nous vraiment "réussi nos vies" parce que nous avons une grande maison ? Le vrai bonheur ne résiderait-il pas dans notre espace intérieur ? Comment vivre pleinement le moment présent sans se soucier des biens matériels ? La vie ne serait-elle pas plus simple si nous nous défaisions de tout ce qui nous encombre ? Après le succès de L'art de la simplicité de L'art de l'essentiel et de L'art de mettre les choses à leur place, c'est une nouvelle façon d'aborder la vie que l'auteur propose [...] dans cet ouvrage : vivre heureux dans un petit espace, c'est accéder au bonheur simple.
Médias
Dominique Loreau[1] est une essayiste française qui vit depuis la fin des années 1970 au Japon, où elle propose des séminaires destinés à ceux qui veulent simplifier leur vie[2]. Elle s'est fait connaître grâce à son ouvrage L'Art de la simplicité, paru en 2005 chez Laffont (ISBN 2-221-10385-8).
« Je ne suis pas du tout écrivain », déclare-t-elle[3]. Lorsqu'elle a commencé à rédiger son livre à partir de ses notes personnelles, certains passages s'adressaient spécifiquement aux femmes, d'autres aux hommes, puis elle s'est dit: « Flûte ! Le monde est toujours au masculin, moi je le mets au féminin. C'est une petite plaisanterie »[4].
L'idée de son livre est née en voyant les citadins japonais « vivre dans tant d'encombrement et de choses, et d'être toujours stressés et fatigués, à chercher leurs affaires, à vivre dans des intérieurs qui sont vraiment pleins à craquer. On ne sait pas où s'asseoir. Et je me dis: "A quoi ça sert tout ça?". »[4]
Puisant aux sources du bouddhisme zen, cet ouvrage propose au lecteur de "simplifier (sa) vie pour l'enrichir" (première de couverture) et remet par conséquent en cause non seulement la société de consommation en général, mais aussi les comportements, la manière d'appréhender l'existence du monde occidental.
La simplicité, « c'est une valeur enrichissante : elle permet de vivre libéré des préjugés, des contraintes et pesanteurs qui nous dispersent et nous stressent. L'abondance de tentations, de désirs, de biens matériels, n'apporte ni la grâce ni l'élégance. Cela peut même détruire l'âme. En tout cas, ça l'emprisonne. Quand on possède peu, que l'on se contente de peu, on est plus disponible pour capter ses besoins réels et revenir à l'essentiel »[5].
« Vider sa garde-robe ou sa maison, c’est ce que j’ai fait il y a vingt ans. Pour moi, c’est complètement dépassé - et mon livre est une synthèse des notes que j’avais prises à cette époque-là. Aujourd’hui, ce que je vide surtout, c’est mon emploi du temps. J’essaie d’avoir le plus de temps possible, de disponibilité. Je reste beaucoup chez moi, en silence »[6].
La première partie aborde le matérialisme et le minimalisme en 3 temps:
La deuxième partie traite du corps en 3 rubriques:
La troisième et dernière partie parle du mental sous 3 angles:
Publié en 2007, le deuxième essai de Dominique Loreau est consacré aux listes. Selon l'auteure, les listes nous offrent un support indispensable. Que ce soit pour faire table rase avant de mieux repartir dans la course des jours ou pour entreprendre un travail de fond sur le sens de sa vie, elles constituent l'un des moyens les plus accessibles, les plus amusants et les plus efficaces de se libérer intérieurement. Dominique Loreau tente d'en apporter la preuve dans cet ouvrage à la fois guide pratique – comment organiser au mieux le quotidien (le ménage, les repas, les invitations à dîner, les comptes, les cadeaux, les valises des vacances...) afin de se donner du temps pour soi – et invitation ludique à explorer une forme d'écriture elliptique et poétique, qui va à l'essentiel. Selon l'auteure, créer son propre " carnet de listes ", c'est apprendre à clarifier son esprit, à affiner ses goûts, à enrichir sa vie intérieure. En s'appuyant sur des dizaines d'exemples précis, L'art des listes donne conseils et astuces pour s'approprier ce véritable art du "bien vivre"[8].
L'art de l'essentiel, troisième essai de Dominique Loreau, est paru en 2008.
392pages. 14cmx21cmx2,7cm. Broché. Plus de soixante ans après, la collaboration française se résume dans la mémoire collective à quelques grands noms, figures emblématiques de la servilité et de la trahison. Ceux-là porteraient sur leurs épaules toute l'ignominie de l'époque. Or, il est d'autres parcours moins célèbres qui éclairent d'une lumière singulière ces années noires. Qui connaît le nom de Jean Deleau, rouage insignifiant de la grande machine nazie ? En juin 1940, il a vingt ans. Le plus bel âge de la vie ? Pas à [...] l'époque, et pas à Neuville-sur-Loire. Deleau est un jeune homme sans histoires, happé par l'Histoire. Quatre ans plus tard, devenu le chef redouté de la Gestapo française de Neuville, il échappe de peu à la justice de la Libération. Recherché par toutes les polices, caché pendant vingt ans par sa mère, le traître est arrêté en. 1965. Il sera le dernier des collaborateurs condamné à mort avant d'être gracié, et libéré en 1985. Au-delà du cas dramatique et pitoyable de Jean Deleau, ce roman librement inspiré de faits réels incite à s'interroger. Choisit-on de devenir un traître ? Est-on le jouet d'événements qu'on ne maîtrise pas ? Peut-on être coupable sans être responsable ?.
En claquant la porte du domicile familial pour fuir l'intransigeance paternelle, la jeune Noria Ghozali ne pensait pas devenir enquêtrice. Et pourtant ! Désormais seule, tout juste majeure et grâce à un "niveau bac", elle se retrouve engagée dans la police de proximité du XIXe arrondissement de Paris. Très vite, Noria est confrontée à son premier cadavre sur un parking de la Villette. Il s'agit de Fatima Rashed, surnommée Katryn, membre d'un réseau de call-girls fréquenté par diverses personnalités françaises et étrangères. [...] Parmi ces clients importants, figure François Bornand, conseiller et ami du Président Mitterrand et responsable de la cellule de l'Élysée, sa police privée. Impliqué dans diverses affaires peu reluisantes, Bornand est aux abois depuis qu'une vente de missiles secrètement conclue avec l'Iran (pourtant soumis à embargo), a été sabotée par la concurrence. Un dossier secret circule qui risque de révéler la vérité à la presse et à l'opinion. Pour faire taire bavards et maîtres chanteurs, Bornand fait appel à Ferrandez, un flic à la gâchette un peu trop sensible. Dans cette enquête policière qui se déroule durant les dernières semaines de 1985, Dominique Manotti abandonne un temps Daquin, son commissaire fétiche (qui apparaît brièvement), pour dresser un réquisitoire cruel mais convaincant des premières années du septennat de Mitterrand. Acérée comme un rasoir, cette chronique menée avec rythme et dépouillement est aussi captivante que les romans de James Ellroy sur les années Kennedy. --Claude Mesplède