"En réserve" : la médiathèque dispose d'une "réserve" constituée d'oeuvres classiques, de documentaires fondamentaux ou en multiples exemplaires. Ces documents sont consultables et empruntables sur demande. Adressez-vous à un bibliothècaire.
"Equipement" : les documents portant cette mention sont souvent des nouveautés. Ils vont être couverts et renforcés pour le prêt et seront disponibles très prochainement. Vous pouvez réserver les documents qui sont à "l'équipement".
Souvenez-vous. Nous avions laissé Verte, l'apprentie sorcière rebelle, rayonnante. Entourée de femmes, comme depuis toujours : sa mère Ursule et sa grand-mère Anastabotte. Mais aussi c'était nouveau pour elle, d'hommes : Soufi. le garçon de sa classe grâce à qui elle avait retrouvé son père, et celui-ci, Gérard, l'entraîneur de foot. Les choses pourraient être simples désormais. Bien sûr, elles ne le seront pas. Car Soufi déménage et Gérard a un père, lui aussi : Raymond, un ancien commissaire de police. Verte pleure, Verte [...] rit, Verte est très entourée soudain, et pourtant elle se sent seule. Heureusement, une fille vient d'emménager avec sa mère dans le bâtiment B. C'est Pome. Verte se dit que c'est un nom parfait pour une alter ego, une future meilleure amie, une pareille en tout. En tout ? Même en sorcellerie ? Ce roman est la suite de Verte
Médias
Wikipedia
Marie Desplechin, née le à Roubaix, est une journaliste et écrivain français auteur de livres pour enfants et pour adultes. Elle participe également à l'écriture de scénarios.
Après quelques années au Lycée général Charles Baudelaire à Roubaix et une formation de journaliste, puis quelques années de travail dans la communication d'entreprise, elle publie, encouragée par Geneviève Brisac, ses premiers livres à l'École des loisirs (Rude samedi pour Angèle, Le Sac à dos d'Alphonse), puis rencontre un premier succès avec, pour les plus grands, la publication d'un recueil de nouvelles Trop sensibles.
Verte et Sans moi lui permettent d'atteindre un public plus large.
En janvier 2003 sort Dragons. Le monde de Joseph publié en 2000 en avait constitué un prélude adapté à de jeunes lecteurs. Satin Grenadine, puis Séraphine explorent le XIXe siècle parisien...
En parallèle, elle travaille avec l'écrivaine Lydie Violet qui fut son attachée de presse aux Éditions de l'Olivier et son amie. Cette dernière doit renoncer à sa vie professionnelle lorsqu'elle est atteinte d'un cancer[1]. De cette écriture à quatre mains sort La Vie sauve, qui remporte en novembre 2005 le prix Médicis essai.
Plusieurs de ses livres ont été traduits à l'étranger.
Elle participe également à des recueils collectifs parmi lesquels on peut citer Naissances (2005 - L'Iconoclaste) ou encore 100 jours sans publié au printemps 2005 pour le comité de soutien à Florence Aubenas et Hussein Hanoun dont elle fit activement partie, ainsi qu'à la revue penser/rêver et à quelques magazines (dont Miss Star Club pour Le Journal d'Aurore et certains numéros de Je bouquine) et contribue à des projets (Beaucoup plus que l'amour pour la bibliothèque municipale de la ville de Bobigny) ou L'Estuaire (2004) et La Photo (2005) pour une maison d'édition récente.
Elle est membre du comité de parrainage de la Coordination française pour la Décennie de la culture de paix et de non-violence et depuis 2006 publie régulièrement des articles dans l'Express. Danbé, coécrit avec Aya Cissoko, obtient le Prix de l'héroïne “Madame Figaro” 2011.
En 2013, elle obtient le Prix Bernard Versele (catégorie 5 chouettes) pour son ouvrage jeunesse Babyfaces[2].
Souvenez-vous. Nous avions laissé Verte, l'apprentie sorcière rebelle, rayonnante. Entourée de femmes, comme depuis toujours : sa mère Ursule et sa grand-mère Anastabotte. Mais aussi c'était nouveau pour elle, d'hommes : Soufi. le garçon de sa classe grâce à qui elle avait retrouvé son père, et celui-ci, Gérard, l'entraîneur de foot. Les choses pourraient être simples désormais. Bien sûr, elles ne le seront pas. Car Soufi déménage et Gérard a un père, lui aussi : Raymond, un ancien commissaire de police. Verte pleure, Verte [...] rit, Verte est très entourée soudain, et pourtant elle se sent seule. Heureusement, une fille vient d'emménager avec sa mère dans le bâtiment B. C'est Pome. Verte se dit que c'est un nom parfait pour une alter ego, une future meilleure amie, une pareille en tout. En tout ? Même en sorcellerie ? Ce roman est la suite de Verte