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Cote | Localisation | Statut |
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LCDP BUS | Lecture Confort Plus de détails sur cet exemplaire Code-barres: 1173364577 |
Auteur | Michel Bussi [auteur] |
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Titre | On la trouvait plutôt jolie / Michel Bussi ; raconté par Marie Bouvier. |
Editeur | Paris : Audiolib, 2018. |
Description | 2 disques compacts ; 14 h 35 min |
Langue | Français. |
Centre d'intérêts | Roman adulte |
Autres auteurs | Marie Bouvier [narrateur] |
Leyli Maal, d'origine malienne, vit à Port-de-Bouc près de Marseille. Elle est pleine de charme, de sourire... Son nouveau travail sera-til, enfin, le sésame pour le plus grand appartement dont cette mère célibataire rêve pour ses 3 enfants ? Sa vie ne tient qu'à un fil, à un secret surtout, qu'elle parvient à cacher aux yeux de tous... François Valioni, membre influent d'une importante association d'aide aux réfugiés, est retrouvé vidé de son sang dans un hôtel. Dans la poche de son pantalon, 6 coquillages, des cauris... Jules [...] Flores, jeune flic plein de zèle et hyperconnecté, est missionné pour enquêter sur ce meurtre, qui sera vite suivi d'un deuxième...
Médias
Michel Bussi, né le à Louviers (Eure), est un auteur et politologue français, professeur de géographie à l'université de Rouen, où il dirige une UMR du CNRS. Il est spécialiste de géographie électorale.
En janvier 2016, il est selon le classement GFK-Le Figaro, troisième écrivain français en nombre de livres vendus, derrière Guillaume Musso et Marc Levy (plus d'un million d'exemplaires vendus). Il est entré dans ce classement en 2014, à la 8e place (près de 480 000 livres vendus en 2013)[1] puis à la 5e en 2015 (près de 840 000 livres vendus en 2014).
Michel Bussi a commencé à écrire dans les années 1990. Alors jeune professeur de géographie à l’université de Rouen, il écrit un premier roman, situé à l’époque du Débarquement de Normandie. Ce dernier est refusé par l’ensemble des maisons d’édition[2]. Il écrit quelques nouvelles, s’attelle à l’exercice de l’écriture de scénarios mais sans parvenir à les faire publier. Il attendra dix ans pour que l’idée d’un roman, inspiré d’un voyage à Rome au moment du pic de popularité du Da Vinci Code de Dan Brown, s’impose. Ce succès d’édition international, ainsi que la lecture d’une réédition de Maurice Leblanc pour le centenaire d’Arsène Lupin[3], le poussent à se lancer dans un travail d’enquêteur. De retour à Rouen, équipé de ses cartes de l’IGN, il noircit des carnets jusqu’à pouvoir proposer, en 2006, un manuscrit intitulé Code Lupin à un éditeur régional et universitaire, les éditions des Falaises. Ce premier roman sera réédité neuf fois.
Plusieurs années seront nécessaires pour que les ouvrages de Michel Bussi, qui paraissent au rythme d’un par an, tel Mourir sur Seine en 2008, ou Nymphéas Noirs en 2011, voient leurs ventes s’envoler. Après une série de récompenses locales, grâce à ses premières éditions en livre de poche, mais surtout grâce à la sortie en rayon polar de son ouvrage maître Un avion sans elle, l’auteur géographe est propulsé sur le devant de la scène[4].
Une des particularités de son travail est de situer la majorité de ses romans en Normandie. Ce tropisme normand, ajouté à son enseignement et ses recherches en Normandie, l’ont amené à être élu « Parrain officiel » de la Fête des Normands, édition 2014[5], fête régionale normande fêtée sur l’ensemble de son territoire et au-delà. Depuis 2013, Michel Bussi est l’auteur français de roman policier le plus lu, il se place en 8e position des auteurs les plus vendus en France[6]. Son roman N’oublier jamais, sorti en mai 2014, met « plus que jamais[7] » la Normandie au cœur de son intrigue, tout comme Maman a tort (qui se déroule au Havre), sorti en mai 2015. Son dernier roman cependant, Le temps est assassin, sorti en mai 2016, se déroule en Corse.
Depuis septembre 2016, Michel Bussi est en disponibilité et se consacre à l'écriture.[8]
Son premier roman, Code Lupin, s'est vendu à plus de 7 000 exemplaires et a ensuite été publié en feuilleton, pendant 30 jours lors de l'été 2010 par le quotidien Paris Normandie. Son deuxième roman, Omaha crimes, a obtenu le prix Sang d'encre de la ville de Vienne en 2007, le prix littéraire du premier roman policier de la ville de Lens 2008, le prix littéraire lycéen de la ville de Caen 2008, le prix Octave-Mirbeau de la ville de Trévières 2008 et le prix des lecteurs Ancres noires 2008 de la ville du Havre, devant les meilleurs auteurs de polar de l'année.
Il publie en 2008 son troisième roman, Mourir sur Seine, qui se déroule pendant l'Armada 2008 de Rouen, et qui s'est vendu en quelques semaines à plusieurs milliers d'exemplaires. Mourir sur Seine a obtenu en 2008 le prix du Comité régional du livre de Basse-Normandie (prix Reine Mathilde). Il a publié, en 2009, un nouveau roman, Sang famille, destiné à la fois aux adultes et aux adolescents. En 2010, il participe au recueil de nouvelles Les Couleurs de l'instant, avec une longue nouvelle, T'en souviens-tu mon Anaïs ?, qui se déroule à Veules-les-Roses et traite de la « légende » d'Anaïs Aubert.
À partir de 2010, il est publié aux Presses de la Cité. Son roman Nymphéas noirs, huis-clos qui se déroule dans le village de Giverny, sort le 20 janvier 2011. Il obtient un succès critique et populaire important, et remporte notamment le prix des lecteurs du festival Polar de Cognac, le prix du polar méditerranéen (festival de Villeneuve-lès-Avignon), le prix Michel Lebrun de la 25e heure du Mans, le prix des lecteurs du festival Sang d'Encre de la ville de Vienne (« gouttes de Sang d'encre »), le Grand prix Gustave Flaubert de la Société des écrivains normands, devenant ainsi le roman policier français le plus primé en 2011. Il sort en poche le 5 septembre 2013.
En janvier 2012, il publie son sixième roman, Un avion sans elle, toujours aux Presses de la Cité. S'il reste fidèle aux intrigues psychologiques basées sur les faux-semblants et la manipulation du lecteur, mêlant passé et présent, ce roman pour la première fois n'est pas principalement situé en Normandie. Salué par Gérald Collard comme le polar de l'année, Un avion sans elle est récompensé par le prix Maison de la presse 2012, le prix du roman populaire 2012 et le prix du meilleur polar francophone 2012 (Montigny-les-Cormeilles). Vendu à plus de 800 000 exemplaires en France, il est actuellement traduit dans 32 pays dans le monde (Chine, États-Unis, Espagne, Allemagne, Italie, Russie, Pologne, Bulgarie, Hongrie, Japon, Corée, Lituanie, Portugal, Taïwan, Angleterre, Israël, Brésil, république Tchèque, Slovaquie, Norvège, Grèce, Turquie, Pays-Bas, Viêt Nam, Lettonie, Roumanie, Serbie…). Les droits ont été achetés pour une adaptation cinématographique. Il est publié en feuilleton dans l'Est républicain, à partir de septembre 2013 et pendant plus de 200 jours.
En mars 2013, les Presses de la Cité publient le septième roman de Michel Bussi : Ne lâche pas ma main. L'intrigue se déroule sous le soleil et les palmiers de La Réunion. Décor idyllique pour un couple amoureux, pourtant le rêve tourne au cauchemar lorsque la femme disparaît de sa chambre d’hôtel. Son mari, soupçonné du meurtre, s’enfuit en embarquant leur fille. Une course poursuite commence alors… Ce roman est finaliste 2012 du prix Relay des voyageurs (roman du mois de mai), finaliste du grand prix de littérature policière, a reçu le prix du roman insulaire 2013, et les droits ont été achetés pour une adaptation télé.
En mai 2014, il publie son huitième roman N’oublier jamais, toujours aux Presses de la cité, alors que Ne lâche pas ma main sort en poche, chez Pocket, le même jour. Suivent en 2015 et 2016 Maman a tort et Le temps est assassin.
Trois femmes vivaient à Giverny, le village de Normandie où Monet a peint ses légendaires Nymphéas. La première était méchante, la deuxième était menteuse, la troisième était égoïste. Toutes les trois pensaient que le village était une prison, un grand et beau jardin grillagé, un tableau dont il serait impossible de déborder du cadre. Une fois pourtant, pendant treize jours, les grilles du parc s'ouvrirent pour elles... Ces treize journées défilèrent comme une parenthèse qui s'ouvrit par un meurtre, le premier jour, et se [...] termina par un autre, le dernier jour... Publié en 2011, Les Nymphéas moire est un roman multiprimé de Michel Bussi qui a su conquérir dans un même élan lecteurs et critiques. Mais est-ce suffisant pour réaliser une bande dessinée exceptionnelle ? Oui, si l'adaptation est écrite par Fred Duval et si les couleurs de cette histoire sont confiées à Didier Cassegrain. Pour la première fois, le virtuose de la bande dessinée d'action arme son pinceau d'acrylique, donnant toute son ambition picturale à cette intrigue située dans la capitale de l'impressionnisme. Avec Fred Duval et Didier Cassegrain, Michel Bussi trouve son incarnation graphique. Révélation.