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Cote | Localisation | Statut |
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R BES | Plus de détails sur cet exemplaire Code-barres: 0748504577 Identifiant: Roman tout-terrain |
Auteur | Luc Besson [auteur] |
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Titre | 4 : Arthur et la guerre des deux mondes / Luc Besson. |
Editeur | Paris : Intervista, 2005. |
Description | 219 p. : couv. ill. en coul. ; 22 cm |
Langue | Français. |
Centre d'intérêts | Roman jeunesse tout-terrain |
Support | Livre |
Le pire est à craindre car M le maudit a profité de l'ouverture du rayon de lune pour grandir et passer dans l'autre monde, celui des humains. L'ignoble créature mesure maintenant deux mètres quarante et elle est bien décidée à conquérir ce nouveau monde. Devant l'ampleur du danger, Arthur et ses amis vont exploiter toutes les astuces, tirer profit des situations les plus inattendues et tout faire pour déjouer l'effroyable plan de Maltazard. Mais est-ce que cette cause n'est pas perdue d'avance lorsque l'on ne mesure que deux [...] millimètres ?
219pages. 21x15x2cm. Broché.
Médias
Luc Besson est un réalisateur, producteur et scénariste français, né le dans le 15e arrondissement de Paris.
En tant que réalisateur, il s'est démarqué avec les films Le Grand Bleu, Nikita, Léon, Le Cinquième Élément, Jeanne d'Arc, Arthur et les Minimoys, The Lady et Lucy. En tant que producteur avec sa société de production Europa Corp, il est surtout connu pour les séries de films Taxi, Taken et Le Transporteur. Il est à l'origine de la Cité du cinéma.
Pour tous ses films, il est nommé de nombreuses fois aux César. En 1998, il reçoit celui du meilleur réalisateur pour Le Cinquième Élément.
Luc Besson passe son enfance auprès de parents instructeurs en plongée sous-marine au Club Méditerranée, entre la Grèce et l'ex-Yougoslavie[n 1]. Un accident l'empêche de poursuivre la plongée à haut niveau.
Il commence dans le cinéma en multipliant les postes d'assistant réalisateur en France et aux États-Unis, avant de mettre en scène son premier long métrage, un film de science-fiction coécrit avec Pierre Jolivet qui évoque la survie d'êtres humains dans un monde post-apocalyptique. Le Dernier Combat, tourné en CinémaScope et en noir et blanc (fortement inspiré par La Jetée de Chris Marker, 1962), lui vaut d'être distingué au festival d'Avoriaz en 1983 et lui permet de signer un contrat avec la Gaumont pour réaliser deux ans plus tard Subway, interprété notamment par Isabelle Adjani et Christophe Lambert. Récompensé par trois Césars, ce film impose sa griffe visuelle et donne à voir un univers graphiquement sophistiqué, très proche de la bande dessinée et du vidéoclip que certains apparentent au cinéma du look (en).
Fort de ce succès, il entreprend la réalisation d'une œuvre qui lui tient à cœur : Le Grand Bleu. Mal reçue au Festival de Cannes 1988, elle devient un phénomène de société faisant dix millions d'entrées et devenant l'objet de nombreuses analyses qui tentent d'expliquer son succès auprès du public et plus particulièrement auprès des jeunes. Son style proche de l'esthétique publicitaire installe un fossé entre le réalisateur et le monde de la critique.
Bien que la critique éreinte Besson, le public est au rendez-vous pour ses films suivants : Nikita en 1990 et Léon en 1994, qui renouvellent le genre grand public du film de tueurs. Ces deux productions assoient par ailleurs définitivement sa popularité en France et lui apportent la célébrité sur le plan international. Atlantis, en 1991, obtient en revanche un succès moindre.
En 1994, lors de la 20e cérémonie des César, il décide de boycotter la cérémonie, à la suite de la remise du César du meilleur film étranger à Quatre mariages et un enterrement de Mike Newell au détriment de La liste de Schindler de Steven Spielberg[2].
En 1997, il se lance avec le groupe Gaumont dans un ambitieux projet de science-fiction : Le Cinquième Élément. Il s'installe alors à Los Angeles avec son épouse, la comédienne Maïwenn et leur fille Shanna. Visant explicitement le marché américain, il place en tête d'affiche Bruce Willis, Milla Jovovich et Gary Oldman dans une histoire au canevas traditionnel de fin du monde évitée de justesse, traitée dans un mélange d'humour, d'ironie et de grand spectacle. Les décors et l'apparence des créatures du film sont dessinés par Mœbius et Jean-Claude Mézières, les costumes sont conçus par Jean-Paul Gaultier. Cette superproduction devient l'un des plus gros succès commerciaux d'un film français aux États-Unis (battu depuis par Taken de Pierre Morel). En couronnement de ce triomphe, Besson reçoit le César du meilleur réalisateur en 1998.
En 1999, sa version de Jeanne d'Arc, interprétée par sa nouvelle compagne et épouse Milla Jovovitch, rassemble trois millions de spectateurs en salles. L'année suivante, il se voit confier la présidence du jury au 53e festival de Cannes.
Les années 2000 seront essentiellement marquées par ses activités de producteur. Quant à ses activités de réalisateur, elles l'amènent souvent à des adaptations de romans et de bandes dessinées. Il tourne de plus en plus avec des acteurs nord-américains, tout en continuant à mettre à profit les nouvelles techniques permises par le numérique.
En 2002, il préside le jury international du 15e festival international du film de Tokyo.
Il ne revient à la réalisation qu'en 2005 avec Angel-A puis l'année d'après avec son tout premier film d'animation adapté de son livre pour enfants : Arthur et les Minimoys, qui bénéficie d'un budget colossal pour sa promotion et pour le lancement de plusieurs produits dérivés. Le film connaît deux suites : Arthur et la vengeance de Maltazard et Arthur et la guerre des deux mondes.
En 2006, il préside le jury des longs-métrages du Festival international du film de Shanghai.
En 2009, il signe dans le journal Le Monde une tribune par laquelle il soutient le projet de loi « Création et Internet »[3].
En 2010, Besson adapte la série de bandes dessinées de Jacques Tardi, Les Aventures extraordinaires d'Adèle Blanc-Sec, avec Louise Bourgoin dans le rôle-titre. La même année il est président du jury du Festival international du film de Moscou.
Dès l'été 2010, il commence en secret le tournage de son film The Lady en Thaïlande[4]. Le film est un film biographique sur la femme politique birmane Aung San Suu Kyi, retenue à l'époque en résidence surveillée par le gouvernement birman. C'est l'actrice malaisienne Michelle Yeoh qui tient le rôle principal du film. Le long métrage sort en salles, en France, le 30 novembre 2011.
Il dirige ensuite Robert De Niro dans une adaptation du roman Malavita de Tonino Benacquista[5] dans un film éponyme sorti en 2013.
Il reprend ensuite son projet de science-fiction de longue date, intitulé Lucy, avec Scarlett Johansson dans le rôle principal[6], alors qu'Angelina Jolie était évoquée depuis le début[7]. Le tournage débute en septembre 2013, après celui de Captain America : Le Soldat de l'hiver[6], et a lieu à Paris, la Cité du cinéma, Étretat et à Taipei.
En mai 2015, il annonce sur son compte Twitter fraichement créé que son prochain s'intitulera Valerian and the City of a Thousand Planets, qui sera adapté de la série de bandes dessinées Valérian et Laureline de Pierre Christin et Jean-Claude Mézières. Les acteurs principaux seront Dane DeHaan et Cara Delevingne. Le film, tourné en France[8], devrait sortir en 2017[9].
En 1986, il s'éprend d'Anne Parillaud avec qui il a une fille, Juliette Besson (qui commence une carrière d'actrice en 2012). En 1990 Il lui donne le rôle titre de Nikita, qui aura un succès mondial et pour lequel elle obtiendra le César de la meilleure actrice en 1991. C'est lors de cette cérémonie qu'il rencontre la jeune Maïwenn Le Besco, âgée de 15 ans.
En 1992, il se marie avec Maïwenn, de 17 ans sa cadette. À l'époque, le mariage pour les mineurs de plus de 15 ans était autorisé en France avec l'accord des parents. Elle donnera naissance quelques mois après leur mariage, le 3 janvier 1993, à la deuxième fille du cinéaste : Shanna. Luc Besson a donné à Maïwenn un petit rôle dans Léon (1994), puis celui de la diva dans Le Cinquième Élément (1997). C'est lors de la réalisation de ce film qu'il tombe sous le charme de Milla Jovovich, chanteuse et top-modèle américain d'origine ukrainienne reconvertie dans le cinéma.
En 1997, il quitte Maïwenn et épouse le à Las Vegas, Milla Jovovich. En 1998, il lui donne le rôle titre du film Jeanne d'Arc. Pour l'imposer, il se fâche avec Kathryn Bigelow (voir Le procès de Jeanne d'Arc). Ils divorcent le .
Depuis le , il est marié à la productrice Virginie Silla, belle-sœur de l'acteur Vincent Pérez, avec qui il a trois enfants : Thalia, Sateen et Mao.
En 1990, il crée sa première maison de production Les Films du Dauphin, puis une deuxième le 15 janvier 1992, nommée Leeloo Productions[10],[11].
En l'an 2000 avec Pierre-Ange Le Pogam, il change le nom de sa société Leeloo Productions pour EuropaCorp[10],[12], dont l'objectif est de développer un nouveau courant du cinéma grand public en s'appuyant sur des films à succès comme la série des quatre Taxi, Yamakasi, Le Transporteur ou encore Danny the Dog. Il est souvent le scénariste des films qu'il produit, privilégiant la distraction et l'action. Cette orientation lui vaut la désaffection et même le mépris de la critique, qui lui reproche d'avoir fondé un empire où il règnerait sans partage. Le « système Besson », ainsi nommé, consisterait à produire et distribuer à la chaîne des films dont le but premier est la rentabilité financière et non la qualité artistique[13]. On déplore aussi la faiblesse, le simplisme voire la démagogie de ses scénarios qui appliqueraient toujours la même recette — pouvant être résumée de la manière suivante : un homme « costaud » est chargé de protéger une jeune femme, « jolie » de préférence, dont il va tomber amoureux avant d'éradiquer les méchants[14],[15]. Les Guignols de l'info se sont même emparés du phénomène, mettant en scène le cinéaste dans un sketch où il distribuait des scripts à de jeunes réalisateurs comme s'il s'agissait de plats de fast-food.
Cherchant à s'imposer sur le marché international, il veille néanmoins à conserver le contrôle et la nationalité française de ses films d'un point de vue juridique et fiscal. Au début des années 2000, il est l'initiateur et le moteur de la création de la Cité du cinéma à Saint-Denis, dans la banlieue nord de Paris.
Souvent producteur et désormais à la tête d'un studio très rentable, il n'en continue pas moins de tourner ses propres films : Jeanne d'Arc en 1999, avec Milla Jovovich (le couple divorce cette année-là), puis Angel-A en 2005, film en noir et blanc interprété par Jamel Debbouze et Rie Rasmussen dont l'accueil critique est mitigé et qui n'a pas le succès de ses prédécesseurs auprès du public.
Le , il annonce que Arthur et les Minimoys sera son 10e et dernier film[16]. Il décide malgré tout, au vu du succès de ce dernier, de tourner lui-même la suite.
Le , il annonce qu'il désire arrêter le cinéma et veut se consacrer à l'action nationale. Il essaie ainsi de monter une fondation pour aider les jeunes des banlieues. En parallèle, il joue en loisir au Paris-Saint-Germain où il côtoie notamment l'ancien joueur professionnel brésilien Raï.
En avril 2007, il a l'autorisation par l'AMF de placer une partie du capital de sa société sur le marché. Désormais coté en bourse, la « Besson Incorporation » a engrangé, en 2006, un profit de 8 millions d'euros pour un chiffre d'affaires estimé à un peu moins de 160 millions d'euros[17]. 41 % de l'activité de la compagnie s'exerce par ailleurs à l'étranger[17].
En , Luc Besson et le publicitaire Christophe Lambert créent l'agence de publicité « Blue », « la première agence française d'advertainment » (mélange entre la publicité — advertising — et le divertissement — entertainment)[18].
L'agence a eu entre autres comme client déclaré en 2009, l'UMP, parti pour lequel elle élabore une nouvelle plateforme de communication autour de Nicolas Sarkozy : le réseau social « les créateurs de possibles »[19],[20].
Dans un article sur Le Cinquième Élément (1997), les Cahiers du cinéma définissent le cinéma de Besson comme un cinéma du gimmick et de l'image-choc. Pour certains critiques, en effet, l'un des traits des œuvres de Luc Besson, est leur construction, moins fondée sur une vision cohérente d'un thème (à l'exception, peut-être, de Léon), que sur l'articulation d'images-choc, de répliques marquantes, de situations pittoresques, indépendantes les unes des autres, scandant ses films. Des commentateurs voient dans le travail de Besson une sorte de catalogue de trouvailles.
181pages. 14,5cmx22cmx1,2cm. Broché. Arthur, Sélénia et Bétamèche poursuivent leur périple à travers les Sept Terres. Il leur faut retrouver le grand-père d'Arthur, car lui seul sait où est caché le trésor qui permettra au petit garçon de déjouer les plans de Davido. Mais M le maudit fera tout pour empêcher nos trois héros de parvenir à leur but. Arthur découvrira-t-il son grand-père à temps ? Gagnera-t-il le c?ur de la princesse Sélénio ? Et ensemble, réussiront-ils au péril de leur vie à sauver le village minimoy [...] ?Rejoignez nos trois petits ccmpères dans cette aventure mouvementée au c?ur de la cité interdite de Nécropolis.
Au début, il est sans doute un peu dérangeant cet amour entre ce vieil écrivain et ce très jeune homme. Mais très vite on se rend compte qu'il restera sur un plan purement platonique. Alors s'installe une véritable fascination pour chacun des mots qu'ils échangent, au cours de profondes et longues conversations, puis au fil de lettres admirables, lorsque Marcel doit quitter la ville. Car l'écrivain en question, c'est Proust bien sûr, même s'il n'est jamais nommé. Exactement au moment où naît cette passion (qui n'est pas sans [...] évoquer un certain amour vénitien si bien conté par Thomas Mann), le jeune héros connaît l'amour, charnel celui-là, avec son beau soldat de voisin. En lieu et place des mots de la passion platonique, s'échangent ici les gestes, caresses, regards, silences de l'Amour... puis les mots aussi, lorsque le soldat regagne le front. Poésie pure, la double correspondance qui s'installe est d'une beauté fulgurante. Véritable sonate à deux voix, à la gloire de l'amour sous toutes ses formes. On ressort de cette lecture bouleversé par la double et précoce découverte – à la fois tragique et immémoriale – que vit le héros : celle de l'amour et de la mort. En l'absence des hommes nous met en présence du talent... d'autant plus remarquable que Philippe Besson signe là son premier roman. --Laure Anciel
Le pire est à craindre car M le maudit a profité de l'ouverture du rayon de lune pour grandir et passer dans l'autre monde, celui des humains. L'ignoble créature mesure maintenant deux mètres quarante et elle est bien décidée à conquérir ce nouveau monde. Devant l'ampleur du danger, Arthur et ses amis vont exploiter toutes les astuces, tirer profit des situations les plus inattendues et tout faire pour déjouer l'effroyable plan de Maltazard. Mais est-ce que cette cause n'est pas perdue d'avance lorsque l'on ne mesure que deux [...] millimètres ?
219pages. 21x15x2cm. Broché.