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Cote | Localisation | Statut |
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TH WER | Langues - Littérature Plus de détails sur cet exemplaire Code-barres: 0729304577 Identifiant: Pôle Langues-Littérature Identifiant: Magenta |
Auteur | Bernard Werber |
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Titre | Nos amis les humains : théâtre / Bernard Werber. |
Editeur | Paris : Albin Michel, 2003. |
Description | 123 p. : couv. ill. en coul. ; 22 cm |
Langue | Français. |
Indice | TH |
Centre d'intérêts | Documentaire adulte |
Support | Livre |
Médias
Bernard Werber (prononcer /vɛʁbɛʁ/), né le à Toulouse, est un écrivain français. Il est principalement connu pour sa trilogie des Fourmis.
Son œuvre, traduite dans une trentaine de langues, fait se rencontrer spiritualité, science-fiction, polar, biologie, mythologie, etc. L'auteur qualifie parfois son style de « philosophie-fiction »[1].
Il naît à Toulouse le [2]. Il fut tout d’abord un enfant inspiré par le dessin. À 5 ans, il veut devenir dessinateur professionnel. Encouragé par son professeur, il a le droit de rester à part des autres élèves pour dessiner de grandes aquarelles. Mais à 8 ans, il écrit, dans le cadre d'un travail scolaire, l'histoire d'une puce se promenant sur un corps humain, ce qui le fait dévier de son rêve original : dès l’âge de 13 ans, il fait ses premières armes en écrivant des histoires pour un fanzine, mais aussi tout au long de sa scolarité il se consacre à la lecture ainsi qu’à l’écriture en montant un journal pour son lycée qu’il nomme Euphorie. Après son bac, il commence l’écriture des Fourmis d’après un scénario de sept pages pour en faire, avec Fabrice Coget, une bande dessinée. Après ses études en criminologie à Toulouse et de journalisme à l'ESJ de Paris, il devient pigiste dans plusieurs journaux (L'Événement, Le Point, VSD, etc.)[3] puis journaliste scientifique de 1983 à 1990 au Nouvel Observateur. Il reçoit en mars 1983 de la part du Prix de la Fondation News du meilleur jeune reporter une bourse pour un reportage en Afrique (au Centre Ecotrope de Lamto), en Côte d'Ivoire, pour suivre les fourmis Magnans, où il ira avec le professeur Leroux, et suivra d'immenses colonies de fourmis en migration. Il rédige aussi des billets d'humour dans le magazine Eurêka. De ces années lui vient son goût pour la science, qu’il mêle avec ses thèmes favoris, des fourmis à la mort jusqu’aux origines de l’humanité.
Bernard Werber publie son premier roman, Les Fourmis, en mars 1991. Ses œuvres ont été traduites en trente-cinq langues. Avec 20 millions d’exemplaires vendus dans le monde[4], Bernard Werber est, avec Marc Levy, l'un des auteurs français contemporains les plus lus au monde. Il est même considéré comme une star en Corée du Sud[5], pays où il vend davantage qu'en France, et a reçu un accueil très enthousiaste en Russie[6].
À la suite du livre L'Arbre des possibles, il a lancé le site Web du même nom, un « projet pour rechercher ou imaginer les futurs possibles de l’humanité[7] ». Le premier long métrage de cinéma réalisé par Bernard Werber, Nos amis les Terriens, est sorti en , et a été produit par Claude Lelouch.
Bernard Werber est membre du collectif d'écrivains français La Ligue de l'Imaginaire créé en 2008. Il a deux fils, et il est actuellement avec une compagne à laquelle il a dédié son roman, Le Sixième Sommeil.
Son style d’écriture mêle différents genres, notamment la saga d’aventure, la science-fiction, de l’entre-deux-guerres et le conte philosophique.
Dans la plupart de ses romans, Bernard Werber utilise la même forme de construction, alternant des articles informatifs d’encyclopédie et deux ou trois fils narratifs. Les articles précisent ou élargissent les intrigues, ces deux dernières se recoupant épisodiquement.
De plus, toutes ses productions, par exemple ses romans et ses nouvelles, s’entrecroisent. On retrouve ainsi des personnages comme Edmond Wells à la fois dans la trilogie des Fourmis et dans L'Empire des anges, mais également des thèmes récurrents, comme « l’Arbre des possibles » d’Isidore Katzenberg, ou encore le roman Nous les dieux, reprenant des éléments de la nouvelle L’École des jeunes dieux.
Dans deux romans, Bernard Werber décrit des auteurs de littérature. Ainsi sont présentés des auteurs qui, à la fin de leur vie, écrivent un dernier livre qui donne un sens à l’œuvre entière de Werber. En ayant préalablement noté une certaine similitude des personnages, des thèmes et du style de son œuvre, on peut en conclure qu'il essaye de donner une certaine cohérence aux idées qu’il développe.
Depuis 1996, Bernard Werber a décidé de sortir un livre par an, chaque début d'octobre, avec à ce jour deux exceptions : 1999 et 2011, où ne sont sorties que des bandes dessinées. Après la rentrée littéraire, l’objectif est de « proposer au public autre chose que de possibles prix Goncourt »[8].
Bernard Werber est membre d'honneur de l'Institut de recherche sur les expériences extraordinaires, une association ayant pour vocation la sensibilisation des professionnels en santé mentale, des médecins et des soignants en général, aux expériences extraordinaires ou inhabituelles.
— Bernard Werber, Soutien à l'INREES
Cette approche se reflète dans le contenu de ses romans, tel que par exemple Les Thanatonautes qui propose une version spiritualiste des expériences de mort imminente, ou encore Nos amis les humains (une pièce de théâtre) qui raconte un récit d’enlèvements par les extraterrestres. La science, le paranormal et la spiritualité influencent ainsi nombre de ses romans.
Bernard Werber est l'un des auteurs français les plus lus dans le monde[10]. Il est particulièrement populaire en Corée du Sud[11].
Néanmoins, son œuvre est peu commentée par la critique[12]. Il lui est reproché, selon L'Express, « une écriture rapide, brutale, qui vise l'efficacité au détriment du style mais qui trop souvent bascule dans le simplisme et les clichés »[13].
En particulier, certains critiques reprochent à ses romans de science-fiction de présenter certains concepts d'apparence scientifique comme des certitudes alors que ce n'est pas le cas. L'Ultime Secret illustre bien cette tendance, on peut y lire sur la quatrième de couverture la phrase suivante : « Ils vont aller de surprise en surprise jusqu’à l’extraordinaire dénouement basé sur une découverte scientifique peu connue mais réelle ». D'autres critiques assimilent la futurologie à de la pseudo-science[14], l’œuvre intitulée L'Arbre des possibles y étant définie comme un recueil de nouvelles de science-fiction[15].
Certaines critiques dépassent le simple scepticisme. La petite revue spécialisée en littératures de l'imaginaire Bifrost est ainsi particulièrement négative[Note 1].
D'autres critiques sont au contraire très laudatifs : François Busnel, dans sa chronique du 14 novembre 2012 dans L'Express, qualifie ainsi Bernard Werber de « visionnaire dont nous avons besoin »[16]. Aujourd'hui en France le qualifie de « Jules Verne moderne » dans son dossier Dans l'intimité de Werber du 4 octobre 2012[17]. L'Écho républicain dit de lui qu'il est un « auteur au succès incontesté »[18].
Ses tableaux sont présentés sur son site officiel[19].
Bernard Werber utilise diverses symboliques dans ses livres. Les animaux comme les dauphins, les rats ou les fourmis sont représentés comme des animaux intelligents. La symbolique des chiffres tient également une grande place et, selon la façon dont ils sont expliqués, ils reflètent « le stade de l’évolution de l’âme ». C'est notamment durant la lecture du cycle des Dieux que l'on se rend compte à quel point Bernard Werber donne une signification implicite aux animaux.
Cette trilogie fait suite au Cycle des anges.
Editeur : Albin Michel Date de parution : 2007 Description : In-8, 476 pages, broché, occasion, bon étatEnvois quotidiens du mardi au samedi. Les commandes sont adressées sous enveloppes bulles. Photos supplémentaires de l'ouvrage sur simple demande. Réponses aux questions dans les 12h00. Librairie Le Piano-Livre. Merci
Atmosphère, atmosphère, est-ce que j'ai une gueule d'atmosphère ?. Nul besoin ici de préciser l'origine de cette réplique ô combien fameuse d'Arletty. Elle fait en effet partie intégrante de l'histoire du cinéma français. Retraçant la genèse des dialogues parmi les plus savoureux des films français, ce livre, riche en photos, présente un extrait, placé dans son contexte, historique et filmique. Du début des années 30, prémices du cinéma parlant, à la fin des années 90, la plupart des films français ayant marqué leur [...] époque sont référencés. De Marius à Marius et Jeannette en passant par Les Enfants du paradis, A bout de souffle, Le Corbeau ou l'extraordinaire La Maman et la putain de Jean Eustache. De Pagnol à Renoir en passant par Carné, Clouzot, Kassovitz ou Klapisch, tous ces cinéastes qui ont fait des dialogues un art à part entière sont ici présents. Cet ouvrage passionnera le néophyte comme l'amateur de cinéma. --Florent Mazzoleni